Allez chez Asphodèle lire les trouvailles des autres participants 😉
Décembre agite au ciel des linges glauques,
Le cavalier perdu, les dents serrées
cravache sa monture.
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Quel enchanteur brouille les pistes,
mime les dieux,
risque de sombres pièges ?
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D’un doigt patient
l’enfant sème sur les cimes
des mots de neige.
J Joubert – L’alphabet des ombres
D’après Magritte « Le Jockey perdu »
Comme il existe plusieurs versions de ce jockey perdu, je m’interroge sur celui qui a inspiré le poème 😉 : un des deux premiers certainement car pour le troisième il est clair que le printemps est mis en avant, pas décembre 🙂