En début de mois, tout allait bien ; j’avais l’idée de départ : m’inspirer d’un poème de Raymond Queneau « Le cheval Parthénon s’ennuie sur sa frise », poème extrait de « 1000 milliards de poèmes » dont vous pouvez trouver ici une variante.
Début juin je m’engageai donc légère et court vêtue avec ce titre : « Le pingouin Pingoléon s’ennuie sur la banquise »
Ma brillantissime idée était de raconter les histoires de ce pingouin et que, à la fin de ce sonnet d’arriver à « le Pingouin Pingoléon s’amuse sur la banquise » histoire dans le même poème de dire tout et son contraire, tout ça avec quelques rimes en « air » c’était facile : vert, verre, ver, vers et peut-être aussi « capillaire » ou « Valétuculinaire » ou valétudinaire…
A contrario donc même avec une idée de départ, rafraîchissante – vous en conviendrez – rapport à la banquise, je n’ai rien écrit du mois de juin, (comme je n’ai rien écrit en mai), juillet s’annonce mal côté boulot : le burn-août me guette !!
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Ceci était ma non-participation à l’agenda ironique de juin. Vous pouvez lire les vrais participants chez Carnetsparesseux