J’étais littéralement fou de cette femme. Pour elle, pour l’étincelance amusée de ses yeux mouillés d’intelligence aiguë, pour sa voix cassée lourde et basse de luxure assouvie, pour son cul furibond, pour sa culture, pour sa tendresse et pour ses mains, je me sentais jouvenceau fulgurant, prêt à soulever d’impossibles rochers pour y tailler des cathédrales où j’entrerais botté sur un irrésistible Alezan fou.
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Encore des nouilles (Chroniques culinaires) – Desproges
Ah…Desproges…Il me manque…🌺
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idem tout pareil 🙂
Bises Célestine
Ce qui est extraordinaire dans tes lectures quelles qu’elles soient, c’est que tu y trouves toujours une référence aux chevaux…
Même dans des chroniques culinaires ! Bon d’accord, c’était Desproges et avec lui on pouvait s’attendre à tout !
Bizzz
pas une seule vraie recette dans ce livre 🙂
il cuisine les carottes comme moi : il en prend neuf, en balance une et voilà les carottes sont qu’huit !! simple et rapide 🙂
Ce n’est pas une contrepèterie alors ?? 😀 😀
mince je rate toujours les contrepèteries…je file relire 🙂
Bonne journée Mind the Breton
Mais où est l’aspect culinaire là-dedans?
Aucun aspect culinaire, la cuisine est dans ce livre juste un prétexte à jeux de mots et délires verbaux ….