le sonnet caché dans le texte pour l’agenda ironique
Nichoirs
Le printemps maladif a chassé tristement
La lune, large et pâle, qui semble se hâter.
Je veux aimer pour vivre et vivre pour aimer,
Sur le chemin du bord du fleuve lentement
Tu es venu me dire que l’Amour est devant
Qui donc a fait pleurer les saules riverains ?
Est-ce le frêle moineau assis en souverain !
Reviens sur mon balcon, recommence ton chant
Puis je tombe énervé de parfums d’arbres, las,
Voici dans le gazon les corolles ouvertes,
Mordant la terre chaude où poussent les lilas,
Devant toi et moi, une assemblée de fées vertes
Tous sourires ; qui du printemps fêtent le réveil
De tant d’oiseaux en fleur gazouillant au soleil.
les emprunts sont ici
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