En novembre, je pars (virtuellement) au Québec avec Karine et Yueyin.
Dans ma cabane au Canada (comprenez mon alcôve sous les toits), j’ai commencé un petit livre étonnant.
Dans le transcanadien (comprenez le transilien) aujourd’hui j’ai continué à lire « le jour de Corneilles » de Jean-François Beauchemin. C’est le récit de la vie de deux hommes qui habitent au fond des bois, isolés de tout (l’un par choix et le deuxième parce que c’est le fils du premier et qu’il n’a rien connu d’autre). Une écriture très étrange et hypnotique, proche de la nature dont je ferais peut être un billet plus détaillé : parce que là je pense aller me terrer comme l’ourse au coin du bois (pour dormirrrrrr)
:
366 réels à prise rapide (les règles sont ici)
1. écrire sur le vif : OK
2. pas plus de 100 mots :114 mots
3. éléments réels de la journée : OK
4. suivre la consigne de la date : OK
Les histoires de ceux qui quittent la civilisation pour choisir de vivre isolés dans la nature me fascinent…! Evidemment j’ai lu … mais pas celui là…
Le père quitte la civilisation « volontairement » pas le fils qui n’a pas eu le choix
Ce livre mérite bien le terme de fascinant 🙂
Bonne soirée Myo 🙂
Je dois noter dans ma liste des « à lire »…
Douce soirée
😉
me terrrrrer et dormirrr
🙂
Et attendrrrrrre le prrrrrrintemps 😉
Bonne nuit Carnetsendormis 🙂
c’est juste le moment d’entrer en hibernation, n’oublie pas les noisettes et autres friandises qui te permettront de lire jusqu’à plus soif sous les toits ! Bisous
PS : je continue la lecture de mon livre, mais quelle brute, le père !
Le père de ce livre là est une brute lui aussi mais le fils est attachant 🙂
Bisesssss Marie Jo 🙂
Chez moi aussi pour l’enfant. Et il bade son pere autant qu’il le craint.
Bader =admirer ?
Oui
😉
Et bien, pour moi, le « Jour des corneilles » de Beauchemin reste l’un des livres les plus marquants : pour l’écriture d’abord et avant tout, l’émotion qu’elle suscite, l’histoire qu’elle véhicule. J’en ai fait un billet sur le blog tellement c’était fort. J’ai ressenti quelque chose d’approchant en terminant « La petite lumière » de Moresco. Et surtout, prudence dans ces bois inconnus !
Coucou Anne
J’irai lire ton billet après avoir écrit le mien 🙂
Bisessss
Tu as rajouté » virtuellement »…tu avais peur qu’on te croit vraiment au Quebec ?? 😀
Oui après le malentendu de la semaine dernière avec la Turquie 🙂
Bonne soirée Mind 🙂
Cela évoque pour moi le fameux livre de Fred Vargas, « dans les bois éternels », où l’ombre d’on ne sait quoi ne cesse de planer. Jusqu’au moment où l’ombre est dévoilée. Bonne hibernation.
J’irai découvrir Beauchemin à l’occasion au détour d’un sentier en sous-bois.
Nul doute que ce sera un beau Sentier 😉
Bisesss Jo 🙂
J’adore Fred Vargas dont je suis une grande fan. Mais Beauchemin n’a vraiment rien à voir avec ça, je t’assure. Tu liras : c’est renversant !
😉
Un lien pour aller découvrir ton billet Anne ?
Très volontiers, Jo. : un bref commentaire pour ce monument aussi petit qu’intense. https://annedenisdelln.wordpress.com/les-livres-que-jaime/j-f-beauchemin-le-jour-des-corneilles/?preview=true&preview_id=144&preview_nonce=f6c16d69f2
Hello Valentyne
Ton courage pour ces quotidiennes me décourage 😉
Quel courage tu as… et des idées 😆
Sharon m’avait offert Le jour des corneilles lors du swap en commun, j’ai essayé deux fois de le lire, impossible… Et en plus, on l’a dans la liste pour notre Club de lecture. Je vais encore faire l’impasse. Cette écriture me déroute totalement, il faut que je passe un temps fou à rétablir dans mon français à moi 🙄
Gros bisous du mercredi
Ces quotidiennes sont aussi un peu ma soupape de sécurité 🙂 mon jardin secret ….bon d’accord pas si secret 🙂
Bisesss Soène
on peut tjs rêver de voyages
Le rêve est indispensable 😉
Bonne soirée Flipperine 🙂
Tu a atterri à Montréal ou à Toronto??
Montréal of course 🙂
🚀🚁
L’époque de l’hibernement, c’est maintenant? 😉
Oui, « hibernement », je sais… Mais si on ne peut plus rigoler…
J’aime beaucoup l’hibernement …comme le pérégrinement et le procrastinement 🙂
Bisesss Mo 🙂
Tu noteras à ma décharge que j’ai évité « hébernitude ».
Procrastinitude et pérégrinitude fonctionnent aussi très bien 🙂
Bises Mo 🙂
Adepte de la ligue des « age », je tiens à valoriser aussi l’hibernage, et par conséquence directe le procrastinage et le pérégrinage, qui volontiers nous conduirait à la pélerination. 😀 Ou pélerinitude suivant les latitudes traversées.
Ok, je me rendors… 😉