Cher Ferdinand,
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J’ai voulu marcher (ou plutôt rouler) sur tes pas dans Sartrouville.
Il me paraît essentiel de revenir sur le passé, de me pencher sur lui une fois les passions apaisées. Je voulais comprendre l’homme qui disait : « Le pire, c’est qu’on se demande comment le lendemain on trouvera assez de forces pour continuer à faire ce qu’on a fait la veille ?… C’est l’âge aussi qui vient peut-être et nous menace du pire… On n’a plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie… »
Avec la crise de la quarantaine je me reconnais dans ces mots.
J’ai d’abord regardé la carte de Sartrouville mais il ne reste rien des rues dont tu parlais en 1932 et en 1940.
D’ailleurs aucun de mes 70 amis Facebook n’habitent à Sartrouville.
De guerre lasse et ne voulant pas voyager toute la nuit, j’ai fini par brancher le GPS de ma Toyota hybride qui a dit d’une voix d’outre tombe : Sartrouville ? Trouville ? Trou ? Inconnu au bataillon !
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Je t embrasse
Mr S.
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366 réels à prise rapide (les règles sont ici)
1. écrire sur le vif : OK
2. pas plus de 100 mots : 165 mots
3. éléments réels de la journée : KO
4. suivre la consigne de la date : OK
Précisions :
Il faut trouver qui sont Ferdinand et Mr S (deux personnages de deux livres très différents avec respectivement 195 critiques/7849 lecteurs et 112 critiques/1115 lecteurs sur Babelio).
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